Enduro

ISDE: jour 2 au jour 4… souvent les plus difficiles!

Lors de la deuxième journée, l’équipe Trophy a réalisé une solide journée avec un excellent Antoine Magain en chef de file. Il termine à la 6eme place au scratch de la journée. Dietger Damiaens , Tim Louis et Florian Tichoux font le job pour remonter sur les tchèques. Au terme de la deuxième journée, l’équipe Trophy est donc 6eme à un peu plus d une minute de l’équipe , on retiendra tchèque.

Sur le plan individuel, on retiendra que Dietger Damians  a pris une minute de pénalités au pre-finish à cause d’une panne de fusible.

La 3ème journée va très mal commencer pour le clan belge et surtout pour l’équipe Junior.

Lucas Nijs a chuté le jour précédent et s’est ouvert l’avant bras. Malgré les soins prodigués et les points de souture posés, le médecin de course ne l’autorisera pas à prendre le départ car la blessure s’est infecté. Il doit se rendre à l’hôpital pour se faire opérer car il a une bactérie dans le sang.

Vilaine chute hier, on̈ poser quelques point de sutures au niveau du coude droit. Au réveil ce matin le coude a doublé de volume et douleur. Il doit passer des examens supplémentaires à l hôpital et peut etre une intervention chirurgical.

Durant la journée, Antoine Magain redonne du beaume au cœur à l’équipe. Il va chercher la 4eme place du jour et gagne la categorie E3. Seuls le devancent le Francais Espinasse et les 2 extra-terrestes José Garcia et Steve Holcombe.

Nos 3 autres pilotes Trophy sont réguliers mais les tchèques vont frapper un grand coup et repousser les Belges à plus de 3min.

Chez les juniors, Nathan et Brieuc sont toujours en course, Nathan monte en puissance au fil des jours et Brieuc se bat avec sa petite 125 pour rester au contact.

La 2eme partie de la journée a été raccourcie pour les Club et les Girls suite aux conditions climatiques et un parcours devenu trop délicat.

Lors de la 4ème journée, les pilotes repassent dans les mêmes liaisons et les mêmes spéciales que le jour précédent.

Tous les pilotes belges rallient l’arrivée mais la journée est éprouvante, on ressent la fatigue des pilotes, notamment les pilotes club où les gestes mécaniques sont beaucoup moins précis lors du prefinish de fin de journée.

Texte et photos: Jeremie Fraselle

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